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Woodstock et la bande son de toute une génération est loin…
Aujourd’hui 40 ans après, la Musique pop a deux camps. D’un côté, le camp des majors et leurs mégas moyens qui offrent aux nouveaux sélectionnés, une formation complète, une visibilité médiatique expresse, à renfort de reprises et de titres formatés. Tout se passe très vite et…Tout passe très vite. Les «signés» endurent la pression extrême de cette accélération de carrière, avec ou sans lendemain, qui peut savoir?
De l’autre, le camp des indépendants «non signés » qui continuent de créer, de travailler à côté de leur passion, s’auto produisant, au risque de mourir inconnu, comme le soldat… Peu importe, grâce aux technologies, ils produisent et s’exposent sur le net. Mais cette existence requiert des multi compétences extrêmes et relève du soutien des internautes et du miracle…
Unity Art l’a bien compris, cette artiste eurasienne, inspirée, indépendante et intemporelle, veut faire connaître ce qu’elle crée depuis 20 ans. Elle livre à 43 ans, son parcours résilient, en quatre albums, dont la créativité ramène à l’essentiel. Son style mélange unité et variété, profondément ancré dans la pop, mais repoussant les limites vers une inspiration éclairée, au service du sens et du ressenti. Son image est un personnage manga, sorti du cœur profond de l’imaginaire.
Ce bout de femme rayonne du désir de vivre, vivre à créer et traduire en musique, la condition humaine qui bat trop souvent de l’aile. A contre courant du panurgisme et de l’uniformisation la création de unityartprod existe pour nous révéler!
SHU - 20/08/2009
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